« J’ai été contraint de quitter la Syrie il y a deux ans, lorsque ma ville natale, Raqqa, a été envahie par ISIS. Ces derniers m’ont interdit d’enseigner l’Anglais et de faire ce que j’aime le plus au monde, qui est enseigner. »
« Quel conseil donnerais-tu aux enfants à Al Salam qui ont aussi été déplacés? »
« Je leur dirais de ne jamais oublier leur ville natale qu’ils ont été obligés de quitter! Personne ne rebâtira la Syrie, à part les Syriens. Votre transition à Al Salam vous sert de préparation pour devenir des bâtisseurs, des agents de changement positif et de transformation de la Syrie du lendemain. »