TÉMOIGNAGES
Rejoint en septembre 2020
En tant que future enseignante, j’ai à cœur d’aider les enfants à atteindre leur plein potentiel. Lorsque j’ai appris que la Syrian Kids Foundation s’alignait sur cette passion en offrant une éducation gratuite aux réfugiés syriens, j’ai immédiatement voulu devenir bénévole. Maintenant, en tant que gestionnaire des médias sociaux, mon objectif principal est d’atteindre un public plus large et de diffuser notre mission, qui est celle d’éducation et de paix. Rejoindre cette organisation m’a montré que l’union fait la force. Plus l’organisation reçoit de soutien, plus nous pouvons donner aux enfants la possibilité de grandir. En tant que personne née et élevée au Canada, je n’avais visité la Syrie que quelques fois dans ma jeunesse. Étant si loin de mes racines, je me sentais impuissante et ne savais pas comment je pouvais aider. La Syrian Kids Foundation m’a appris que, peu importe où je me trouve dans le monde, il y a toujours quelque chose que je peux faire pour contribuer à une cause qui me tient à cœur.
Rejoint en janvier 2015
J’ai entendu parler de la SKF pour la première fois lors d’un événement organisé par l’Association des étudiants syriens de l’Université McGill en 2015. J’étais une nouvelle étudiante de premier cycle et j’étais tellement excitée de rejoindre une organisation qui soutient les réfugiés syriens, car je suis moi-même syrienne et j’ai été profondément affectée par la guerre en cours. J’ai commencé par organiser et participer à des ventes de pâtisseries hebdomadaires pour collecter des fonds pour l’école AlSalam. Mon travail s’est ensuite rapidement élargi pour inclure le recrutement de nouveaux bénévoles, l’organisation d’événements sur le campus, y compris notre gala annuel, la présentation de notre travail lors de séances d’information et le soutien de nos plateformes de médias sociaux.
Maintenant en 2021, je suis actuellement doctorante aux États-Unis, mais je continue de travailler à distance avec cette incroyable organisation. Mon objectif est d’accueillir nos nouveaux bénévoles, de les soutenir dans leur expérience et de les aider à atteindre leurs objectifs. Quelles que soient vos compétences : tutorat d’anglais, conception graphique, marketing des médias sociaux, rédaction de subventions, voire analyse de données, nous sommes toujours à la recherche de bénévoles engagés et passionnés par l’aide aux enfants syriens. Écrivez-moi à skf.outreach@syriankids.ca pour rejoindre notre équipe grandissante 🙂
Rejoint en novembre 2020
En faisant du bénévolat auprès de l’Association des étudiants syriens à McGill, j’ai découvert le poste de gestionnaire des médias sociaux chez la SKF. J’ai immédiatement su que je voulais faire partie de cette équipe et de cette organisation, car je cherchais une façon plus concrète de redonner à ma communauté. Savoir que ce que je fais peut nous aider à atteindre un public plus large et à aider directement les enfants de l’école Al Salam me motive vraiment. Mon objectif est de faire savoir au monde à quel point le travail que nos bénévoles, tuteurs et personnel font quotidiennement pour changer la vie de nos étudiants est incroyable. En rejoignant cette équipe, j’ai réalisé à quel point il est gratifiant de travailler avec des personnes aussi compatissantes et intelligentes. C’est satisfaisant de savoir que tous ceux qui travaillent avec moi ont le même objectif en tête : améliorer l’avenir des enfants syriens. Je suis reconnaissant pour cette opportunité et encourage tout le monde à nous contacter et à nous rejoindre !
Rejoint en mai 2022
J’ai entendu parler de la SKF pour la première fois à travers l’Association des étudiants syriens de McGill, et j’avais hâte de contribuer à ce projet durable assurant l’éducation des jeunes de ma communauté. Depuis le début de la crise des réfugiés syriens, j’ai été profondément émue par la résilience et la gentillesse des enfants syriens du monde entier, et je crois que, comme tout enfant, ils ont droit à une éducation solide et à la possibilité de se construire un avenir prometteur. En rejoignant la SKF, j’espère partager les histoires inspirantes et les réussites des enseignants, des bénévoles et des étudiants qui travaillent ensemble pour cette mission. Avec des témoignages personnels et concrets, mon objectif est de rapprocher un public plus large pour la cause incroyable de l’organisation et de montrer une image des réfugiés syriens différente de celle que beaucoup ont l’habitude de voir dans les médias. Depuis mon arrivée, je suis encore plus motivée par cette équipe de bénévoles dévoués, gentils et travailleurs qui partagent cette mission, et je suis honorée de travailler avec des gens aussi admirables.
J’ai rejoint la SKF quand j’étais étudiante en université, vers 2013. Je dois faire le lien avec ce qui se passait en Syrie, car j’étais très contrariée par ce qui se passait dans mon pays. C’était vraiment difficile d’accepter ces événements. J’ai traversé un changement de mentalité de 2012 à 2014. Je suis devenue une personne plus rationnelle. J’étais toujours préoccupée par la dernière urgence et je faisais des plans de collecte de fonds pour cela. Toute urgence attirait mon attention. Mais si vous regardez les informations, chaque instant est une urgence, ce qui est très triste, mais vrai. Vous devez en quelque sorte détourner le regard de ce que vous pensez avoir à faire pour pouvoir réellement contribuer. Nous avons vu beaucoup d’opportunités émerger et beaucoup d’organisations s’effondrer et j’ai fait partie de beaucoup d’entre elles. Certaines de nos idées étaient bonnes, mais nous n’avions souvent pas le temps et les ressources pour les mettre en œuvre. Nous avons besoin de quelque chose qui se concentre sur le long terme. La collecte de fonds pourrait être bénéfique, en aucun cas je ne rabaisse leurs efforts: le niveau d’urgence est très important. Par contre, c’est la spécialité de quelqu’un d’autre, pas la mienne. Ma spécialité, ou vraiment ce qui m’aurait gardé sain d’esprit, aurait été de contribuer de manière positive, mais loin du bruit et de l’urgence. Je voulais juste quelque chose de tangible, à long terme et durable. La SKF faisait exactement cela. Ils se sont concentrés sur la façon dont ils pourraient voir les cinq prochaines années et ils avaient l’air terrible. J’ai arrêté de croire aux géants comme l’ONU, je voulais quelque chose de local, quelque chose sur lequel je pourrais mettre un visage.
Quand je pense à la SKF, je pense à mes amis, je pense aux fondateurs qui sont des amis très chers, je pense à mon implication avec la SKF. Vous devez trouver quelque chose que vous seriez prêt à faire le week-end. C’est ça la SKF pour moi. Lorsqu’ils pensaient à l’école, ils ne pensaient pas simplement à recycler le système éducatif syrien, mais plutôt à des moyens de réellement aider ces élèves de manière constructive. Cet aspect m’a vraiment touché, car j’ai l’impression que pour la première fois, je comprends la notion d’un monde sans frontières ou d’une éducation sans frontières. Ce n’est pas seulement une expérimentation que vous faites, vous brisez les frontières en donnant aux enfants des opportunités incroyables. Je ne veux vraiment pas paraître méchante quand je dis cela, mais peut-être que vous auriez même fait l’expérience d’un meilleur apprentissage que vous ne le feriez avec le système éducatif syrien. L’éducation expose les enfants à des valeurs que tout Syrien voudrait avoir dans son pays. L’éducation vous apprend la démocratie et vous apprend à être un citoyen en ayant des élections et des représentants de classe ou de petits microcosmes de démocratie comme à l’école Al Salam. Les mariages précoces pour les filles et la conscription forcée pour les garçons sont des maux de société qui ne seront résolus que par une bonne éducation. En même temps, il est important de se concentrer à la fois sur les secours d’urgence et sur les solutions à long terme. Il y a toujours des fonds pour les bombes et la guerre, mais il n’y a jamais de fonds pour les écoles et l’éducation. Tout cela était très attrayant comme concept pour moi.
Quant à ce qui m’a motivé à devenir tutrice, je l’ai fait à l’université à la fois comme travail et comme passe-temps. Je crois fermement que la connaissance doit être partagée plutôt que gardée pour soi.
Rejoint en novembre 2020
En tant que membre de l’Association des étudiants syriens, la SKF est une organisation avec laquelle nous collaborons en raison de nos objectifs similaires, comme une volonté d’aider les syriens. Au début, j’ai choisi de faire du bénévolat uniquement pour renforcer le lien entre les deux organisations et aider à mettre en relation des étudiants universitaires avec des étudiants de l’école Al Salam pour les aider à pratiquer leur anglais et à passer leurs examens d’anglais à la fin de leur année scolaire. En quelques jours, en tant que personne ayant une formation dans le domaine d’éducation, j’ai ressenti une forte envie de faire plus et de faire du bénévolat dans une plus grande capacité. C’est pourquoi j’ai décidé de devenir tutrice et de mettre en pratique les connaissances que j’ai le privilège d’avoir acquises tout au long de ma vie. Devenir tutrice, à mon avis, ne signifiait pas simplement enseigner l’anglais aux étudiants, mais plutôt prendre les compétences qu’ils avaient déjà et trouver un moyen de les appliquer. Au cours des mois précédents, j’ai appris à quel point ces étudiants sont capables non seulement de parler en arabe, mais également de plusieurs langues, car ils ont trouvé réfuge dans un nouveau pays et ont appris cette langue. J’ai découvert rapidement que je travaillais avec des personnes si intelligentes que passer ces examens d’anglais n’était qu’un petit obstacle par rapport à tout ce qu’ils ont traversé et que je sais qu’ils peuvent fièrement accomplir leurs buts avec un peu d’aide. Comme ces examens sont cruciaux pour leur parcours académique, les étudiants sont remplis de motivation et ne recherchent qu’un coup de main pour appliquer leurs connaissances en anglais dans des formats qui seront testés par l’examen TOEFL et IELTS. Mon objectif tout au long de cette expérience est de rendre ces examens aussi faciles que possible en familiarisant les étudiants avec les questions qu’ils pourraient voir ainsi qu’en créant un environnement positif où les étudiants trouvent de la joie et de l’excitation en apprenant l’anglais plutôt que d’avoir l’impression que c’est qu’une autre tâche.
En tant qu’une femme syrienne ayant vécu à l’étranger toute ma vie, j’ai trouvé que travailler avec SKF et ces étudiants est une belle façon de me sentir connectée à mon pays d’origine. Pouvoir pratiquer l’anglais en parlant de notre culture et de nos traditions m’a fait voir à quel point les Syriens sont vraiment connectés, peu importe où nous nous trouvons. Comme je l’ai mentionné plus tôt, chaque personne a besoin d’un coup de main, quel que soit son stade ou son âge, ce que SKF propose. Travailler aux côtés d’une équipe aussi travailleuse a été un honneur et je suis extrêmement reconnaissante pour leur travail envers les Syriens et les enfants qui construisent notre futur. Pour motiver davantage quelqu’un à rejoindre SKF, c’est très simple : « un savoir qui n’est pas partagé est un savoir perdu », alors faites votre part et aidez ceux qui en ont besoin.
Rejoint en août 2021
J’ai entendu parler de la Syrian Kids Foundation sur les réseaux sociaux par une collègue tutrice et meilleure amie d’enfance, Sarah Al Ani, qui est syrienne et a récemment obtenu son diplôme d’enseignante à l’Université McGill. J’ai toujours admiré les enseignants et l’impact qu’ils peuvent avoir sur leurs élèves, la manière dont ils façonnent le monde et les préparent à ce qui s’en vient. Rejoindre la mission de SKF a été pour moi l’occasion de mettre à profit ce que j’avais appris de mes propres enseignants et de le transmettre à ceux qui le méritent le plus. À travers le bénévolat, mon objectif est d’aider même une seule personne à naviguer plus facilement dans le monde ; à cette époque, la langue anglaise vous mobilise et vous ouvre de nombreuses portes. Au-delà de cela, apprendre une autre langue fait de vous un penseur plus confiant, décisif et créatif. Mon expérience de l’année dernière a été tout simplement enrichissante; Je suis devenue plus patiente et compréhensive, et en devenant une meilleure enseignante, je crois que je suis aussi devenue une meilleure étudiante. SKF crée un environnement d’inclusivité, de compassion et de connaissances, c’est pourquoi il est important que l’organisation soit en mesure de poursuivre leur mission.
Rejoint en décembre 2020
Être le président de l’Association des étudiants syriens de l’Université Concordia m’a montré l’importance de consolider nos efforts ensemble pour de meilleurs résultats. Ainsi, faire du bénévolat à la Syrian Kids Foundation était l’occasion idéale d’ajouter nos ressources et de travailler pour une cause importante. De plus, offrir des opportunités aux personnes vulnérables m’a toujours inspiré à faire du bénévolat dans une organisation comme SKF, car ils offrent une éducation accessible via l’école Al-salam et des cours privés (clin d’œil à ma sœur, Jana). Lorsque vous entendez ces histoires encourageantes d’étudiants excellant dans leurs domaines après avoir obtenu leur diplôme de l’école Al-salam, vous ne pouvez pas vous empêcher de vous demander ce que vous pouvez faire de plus. Finalement, l’excellent travail d’équipe et le dévouement des bénévoles de la Syrian Kids Foundation m’ont toujours motivé à lutter pour un avenir meilleur.
Rejoint en juin 2021
Ron Conway a dit: « Redonner crée un cercle vertueux qui rend tout le monde plus efficace. » En tant que quelqu’un qui a été encadré par les incroyables bénévoles de la Syrian Kids Foundation, c’est maintenant mon tour de transmettre la bonne action à mes camarades étudiants syriens. Si, ce faisant, je peux aider un étudiant à avoir un meilleur avenir, mon objectif sera atteint. La vision positive de cette organisation sur la crise des réfugiés a créé un environnement idéal pour que les étudiants apprennent, grandissent et, potentiellement, redonnent à leur communauté.